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Othoniel Les Filtres Studio La Solfatara

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Parcours de l'artiste de 1986 à aujourd'hui

Ranunculaceae Knot, 2012. Verre rouge et noir miroité, inox. | Ranunculaceae Knot, 2012. Mirrored Red and Black Glass, Stainless Steel.

Eugène Delacroix, Des Fleurs en hiver, Othoniel, Creten

Décembre 2012 - Mars 2013, Musée Delacroix, Paris, France

 The Knot of the Real, 2012 (devant). Verre noir et gris miroité, inox. L'In Noir, 2010 (fond). Verre miroité, perles de verre, câbles acier. | The Knot of the Real, 2012 (foreground). Black and grey mirrored glass, stainless steel. L'In Noir, 2010 (background). Mirrored glass, metal.

Othoniel

Novembre 2012, Museum Frieder Burda, Baden-Baden, Allemagne

Black knot, 2012 (devant). Verre miroité, inox. The Gigantic Necklace, 2012 (au fond). Verre miroité, inox | Black Knot, 2012 (foreground). Mirrored glass, stainless steel. The Gigantic Necklace, 2012 (background). Mirrored glass, stainless steel

Othoniel

Septembre - Octobre 2012, L&M Arts Gallery, New York, États-Unis

  • Le Nœud de Delacroix, 2012. Verre miroir vert, inox.

Eugène Delacroix, Des Fleurs en hiver, Othoniel, Creten

Décembre 2012 - Mars 2013, Musée Delacroix, Paris, France

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Eugène Delacroix, Des Fleurs en hiver, Othoniel, Creten

Exposition collective
Musée Delacroix, Paris, France
12/12/2012 - 18/03/2013
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À l’occasion de la rénovation du jardin du musée national Eugène-Delacroix, l’exposition rassemble pour la première fois, sous le titre paradoxal « Des fleurs en hiver », les principaux tableaux de fleurs de Delacroix et ses plus belles aquarelles, venus de musées français et étrangers. Cette présentation sera accompagnée d’oeuvres de deux artistes contemporains, Jean-Michel Othoniel et Johan Creten, illustrant la permanence de l’inspiration florale, au XIXe comme au XXIe siècles, chez des créateurs aux parcours pleinement inscrits dans leur temps.


L’exposition célèbre ainsi un sujet qui n’a cessé de hanter les créateurs de la modernité, de Courbet à Monet ou Cézanne. Elle propose en parallèle un dialogue avec les œuvres de deux créateurs de notre siècle, Jean-Michel Othoniel et Johan Creten. Ces artistes contemporains qui placent les fleurs au cœur de leur inspiration ont répondu par des créations pour la plupart inédites à cette invitation. De verre, de bronze, de porcelaine et de papier, elles ne sont en rien des transcriptions d’après Delacroix mais elles illustrent l’éternelle source d’inspiration qu’offre la nature aux artistes.


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Image 1-4
Le Nœud de Delacroix, 2012
Verre miroir vert, inox
180 x 205 x 130 cm
Collection privée

Image 5
Ranunculaceae Knot, 2012
Verre rouge et noir miroité, inox
70 x 40 x 70 cm
Collection privée

Image 6
Renonculacée, 2012
Aquarelle sur papier
35.5 x 45.5 x 3 cm (encadrée)
Courtesy Galerie Perrotin

Image 7
Convolvulus, 2012
Aquarelle sur papier
35.5 x 45.5 x 3 cm (encadrée)
Courtesy Galerie Perrotin

Image 8 - 9
L'Herbier Merveilleux, 2008
Aquarelles sur impression encadrées / cadre en plomb
40.5 x 30.5 x 0.5 cm, chaque (encadrée)
Collection de l'artiste

  • Nœud ambre dégradé miroir, 2012 (gauche). Verre miroité, inox. The Knot of the Real, 2012 (centre). Verre noir et gris miroité, inox. Nœud vert et ambre, 2012 (droite). Verre miroité vert et ambre, inox.

Othoniel

Novembre 2012, Museum Frieder Burda, Baden-Baden, Allemagne

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Othoniel

Exposition personnelle
Museum Frieder Burda, Baden-Baden, Allemagne
04/11/2012
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Du 23 Juin au 4 Novembre 2012, le Musée Frieder Burda expose de nouvelles œuvres de Jean-Michel Othoniel. Ses grands colliers et sculptures abstraites en perles de verre jouent avec l’espace environnant et imposent leur présence poétique mêlant la fragilité du matériau et le dynamisme des courbes que l’artiste dessine. Chaque œuvre fonctionne comme un piège à rêve et invite le visiteur à s’émerveiller.


Pour la série des nœuds qu’il présente au Musée Frieder Burda, Othoniel s’est inspiré des théories psychanalytiques de Lacan et du nœud borroméen. En suivant cette théorie, l’équilibre de chaque personne est régie par le rapport entre le Réel, le Symbolique et l’Imaginaire, tous trois interdépendants et liés dans un entrelacs sans fin. Le sujet est donc ici évoqué par son absence, Othoniel révèle sa présence par cette structure psychanalytique à la dynamique infini.


Est également présentés dans cette exposition l’In Noir, une œuvre que l’artiste avait créé en 2010 pour l’ouverture du centre Pompidou Metz. Cette fine toile d’araignée impose par sa taille et renverse, tel un conte, le rapport spectateur-œuvre. Dominant le visiteur, l’œuvre évoque les mondes oniriques que nous traversons en rêve et l’invite à se perdre dans son paysage inquiétant. L’artiste joue ici sur un de ses thèmes de prédilection : le rapport entre attraction et répulsion, la beauté et le piège.  


Avec cette exposition, l’œuvre de Jean-Michel Othoniel est, pour la première fois, présentée dans un musée allemand.


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Image 1/3, gauche
Nœud ambre dégradé miroir, 2012
Verre miroité, inox
130 x 150 x 75 cm
Courtesy Galerie Karsten Greve

Image 1/3, centre
The Knot of the Real, 2012
Verre noir et gris miroité, inox
200 x 210 x 145 cm
Collection privée

Image 1/3, droite
Nœud vert et ambre, 2012
Verre miroité vert et ambre, inox
153 x 168 x 100 cm
Courtesy Galerie Perrotin

Image 1/3, fond
L'In Noir, 2010
Verre miroité, perles de verre, câbles acier
Production Centre Pompidou Metz
297 x 870 x 12 cm (encadré)
Courtesy Galerie Perrotin


Image 2/3, devant
The Knot of the Real, 2012
Verre noir et gris miroité, inox
200 x 210 x 145 cm
Collection privée


Image 2/3, derrière
L'In Noir, 2010
Verre miroité, perles de verre, câbles acier
Production Centre Pompidou Metz
297 x 870 x 12 cm (encadré)
Courtesy Galerie Perrotin


Image 3/3, gauche
Le Double Collier gris miroir, 2011
Verre gris miroité acier.
320 x 55 x 55 cm.
Collection privée


Image 3/3, centre
Série d'aquarelles pour le Nœud de Lacan, 2012
Aquarelles sur papier, encadrées.
61 x 46 cm / 46 x 61 cm.
Courtesy Galerie Karsten Greve


 


 

  • Black and purple Knot, 2012 (devant). Verre miroité, inox. Blu knot, 2012 (gauche). Verre miroité, inox. Black knot, 2012 (au fond). Verre miroité, inox.

Othoniel

Septembre - Octobre 2012, L&M Arts Gallery, New York, États-Unis

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Othoniel

Exposition personnelle
L&M Arts Gallery, New York, États-Unis
06/09/2012 - 06/10/2012
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Cette exposition présente neuf nouvelles œuvres de Jean-Michel Othoniel. L’installation à la fois dynamique et poétique de ces sculptures minimalistes transforme les galeries néo-classiques de L&M Arts Gallery en un environnement mystérieux et fantastique, et révèle le merveilleux en latence dans notre quotidien. Par exemple, le Grand Collier, une œuvre créée spécifiquement pour la galerie, est composé d’un dégradé de perles de verre allant du noir à l’argenté, et est suspendu du cinquième étage de la galerie traversant ainsi le bâtiment en suivant l’escalier central qui autour comme un ruban. 


Hommage au travail de Constantin Brancusi, quatre nœuds en perles de verre capturent l'essence abstraite du mouvement. Une autre sculpture, Black Tornado, explore le thème de la tornade comme un concept abstrait : le mouvement tournant autour d'un vide central. Alors que Jean-Michel Othoniel trouve son inspiration dans des références historiques aussi diverses que le baroque italien et l'art minimal américain, sa conception du nœud lui-même a des racines dans le symbole psychanalytique utilisé par Jacques Lacan pour expliquer la structure de la psyché humaine. 


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Image 1/5, devant
Black and purple Knot, 2012
Verre miroité, inox
110 x 130 x 100 cm
Collection privée

Image 1/5, au fond à gauche
Blu knot, 2012
Verre miroité, inox
130 x 150 x 100 cm
Collection privée

Image 1/5, au fond à droite
Black knot, 2012
Verre miroité, inox
157 x 147 x 75 cm
Collection privée

Image 2/5, premier plan
Black knot, 2012
Verre miroité, inox
157 x 147 x 75 cm
Collection privée

Image 2/5, fond
The Gigantic Necklace, 2012
Verre miroité, inox
1600 x 90 x 18 cm
Courtesy Galerie Perrotin

Image 3/5, gauche
Black Tornado, 2012
Verre miroité, inox
320 x 240 x 210 cm.
Collection privée.

Image 3/5, centre
Precious Stonewall, 2012
Verre miroité indien, bois
74 x 55 x 22 cm
Collection privée

Image 3/5, droite
Precious Stonewall, 2012
Verre miroité indien, bois
130 x 100 x 22 cm
Collection privée

Image 4/5
Black Tornado, 2012
Verre miroité, inox
320 x 240 x 210 cm.
Collection privée.

Image 5/5
The Garland Necklace, 2012
Verre miroité, inox
292 x 148 x 250 cm.
Collection privée.

My Way

Avril - Juin 2012, MAM, Macau, Chine

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My Way

Exposition personnelle
MAM, Macau, Chine
25/04/2012 - 17/06/2012

La grande rétrospective que consacra le Centre Pompidou à Jean-Michel Othoniel, en 2011, voyagea ensuite dans le monde entier. 


Le Macau Museum of Art fut l'avant dernière itinérance de cette exposition retraçant le parcours de l'artiste, des œuvres en soufre de ses débuts aux sculptures de verre dessinant dans l'espace  des arabesques poétiques mêlant l'extravagance du Baroque, le merveilleux et une abstraction minimaliste.


 

A bruit secret

Mars - Mai 2012, Galerie Karsten Greve, Cologne, Allemagne

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A bruit secret

Exposition personnelle
Galerie Karsten Greve, Cologne, Allemagne
09/03/2012 - 26/05/2012
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Pour sa deuxième exposition individuelle à la Galerie Karsten Greve de Cologne, Jean-Michel Othoniel expose sept sculptures en perles de verre autour du thème du Nœud de Lacan.  


De ses grand colliers en perles de verre à sa série des lassos, qui introduisent la notion de mouvement (l’impulsion de cette forme est donnée par le corps), Othoniel explore depuis les années 2000 les notions de dynamiques, de rotation, d’écriture spatiale et de mouvement.


En 2008, à la Galerie Karsten Greve de Cologne, Le Grand Ricochet bleu inscrit la sculpture dans l’espace architectural, en maintenant néanmoins son autonomie formelle. Othoniel tient à se situer sur les deux terrains : « révéler l’espace et en même temps faire exister une sculpture pour elle-même ». En 2009, Les Lacets bleus précisent encore plus la question du « corps absent ». « Il s’agit de créer des volumes d’absence, des constructions à dimensions variables où des corps pourraient se lover. » Othoniel s’intéresse alors de plus en plus à la topologie, particulièrement au ruban de Möbius, figure exemplaire du retournement et du retroussement de l’espace. Cette figure le dirige tout naturellement vers Jacques Lacan, qui a fait de la topologie et singulièrement, celle des « nœuds », l’accès privilégié à la représentation de l’articulation des trois dimensions de sa théorie analytique (l’imaginaire, le symbolique et le réel). Une des questions, récurrente chez Lacan, est celle de l’amour comme étant ce qui supplée l’absence de rapport sexuel (« rapport » étant à distinguer de « relation »). Le psychanalyste reviendra de nombreuses fois sur le nœud borroméen, cette figure mathématique (dont il découvre l’existence au travers des travaux de Georges Th. Guilbaud) qui se définit comme trois « ronds de ficelle » noués de façon telle que si l’un des trois se libère, l’ensemble se dénoue. Ce nœud permet à Lacan de figurer le processus de sublimation de l’amour, en ce qu’il permet de faire tenir ensemble les trois registres du symbolique (le discours amoureux), de l’imaginaire (l’érotisme des corps) et du réel (l’acte sexuel).  


Jean-Michel Othoniel puise alors son inspiration dans cette théorie nodale. Le Nœud de Lacan qu’il réalise en 2009 est bien sûr un hommage au psychanalyste, avec lequel il partage une même passion des mots et des jeux de langage. Le nœud noue plusieurs réalités physiques et sémantiques : de la science (la théorie des tresses et des entrelacs), au monde populaire (les noeuds marins, les casse-têtes, les pratiques en vigueur chez les illusionnistes) ; de l’univers domestique (le noeud au mouchoir qui permet de ne pas oublier) à la psychologie ordinaire (avoir la gorge ou l’estomac « noués ») ; de l’érotisme (l’art du Shibari et du bondage) au trivial (dans la langue verte, le nœud est synonyme de pénis (« tête de noeud » ).

My Way

Janvier - Décembre 2012, Brooklyn Museum of Art, New York, États-Unis

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My Way

Exposition personnelle
Brooklyn Museum of Art, New York, États-Unis
17/01/2012 - 02/12/2012

La grande rétrospective que consacra le Centre Pompidou à Jean-Michel Othoniel, en 2011, voyagea ensuite dans le monde entier. 


Le Brooklyn Museum of Art fut la dernière itinérance de cette exposition retraçant le parcours de l'artiste, des œuvres en soufre de ses débuts aux sculptures de verre dessinant dans l'espace des arabesques poétiques mêlant l'extravagance du Baroque, le merveilleux et une abstraction minimaliste.


« My Way » présente les premières œuvres d’Othoniel, réalisées dans les années 1980, faites de soufre, de phosphore, ou de cire, touchant à l'identité sexuelle et à la souffrance, tout comme ses dernières œuvres, de plus grande échelle, réalisées en verre de Murano, un matériau alliant force et fragilité. Ses sculptures de verre, à la fois organiques et géométriques, évoquent des références historiques et populaires tout comme l'univers fantastique des contes de fées. 


Le titre de l'exposition est tiré de la chanson rendue célèbre par Frank Sinatra, « My Way », symbole d'une vision qui a su rester unique. Est notamment exposée la première œuvre de l’artiste, Auto-Portrait en Robe de prêtre (1986), une méditation sur le deuil et le désir persistant après le décès d'un ancien amant; L’Âme moulée au cul (1989), réalisée en soufre, une matière qu’Othoniel considère comme étant à la fois belle et vulgaire, et qui l’attire pour ses propriétés métamorphiques; Black is Beautiful (2003), une œuvre monumentale composée d'un collier à deux rangs de perles de couleur noire, en verre de Murano, dont le titre fait référence au mouvement culturel lancé par les Afro-Américains dans les années 1960; Le noeud de Lacan (2009), une pièce en verre miroité qui évoque les trois anneaux Borroméens qui ont inspiré Jacques Lacan pour sa théorie de la subjectivité humaine; ainsi que des dessins et des aquarelles de l’artiste.


Au début des années 1990, alors qu’il visite les îles Éoliennes, Othoniel découvre la pierre d’obsidienne, un verre volcanique naturel qu'il est arrivé à recréer artificiellement en laboratoire. Fasciné par sa malléabilité et ses propriétés transitoires, il fait alors du verre son matériau de prédilection et commence à collaborer avec les verriers à Murano. L'exposition présentera ses œuvres en verre de plus grande envergure, y compris My Bed (2002), des colliers monumentaux et les plus récentes sculptures de l'artiste, toutes en courbes et noeuds de verre, suggérant des équations mathématiques ou des structures moléculaires. Dans l’exposition du Brooklyn Museum est aussi montré le Precious Stonewall de l'artiste, une œuvre majeure produite en Inde (New Delhi, Firozabad) à l'invitation de l'ambassade française en collaboration avec l'Institut Français de Paris et l'Alliance Française de Delhi, et réalisée avec le soutien du Centre Pompidou. Cette œuvre est un hommage aux tas de briques qui bordent les routes indiennes ornées de centaines de colliers, dont chacune des pierres est taillée à la main comme un bijou. Faite de centaines de briques de verre ambre, cette œuvre monumentale est également un hommage poétique à l'emblématique Stonewall Inn à New York, où le mouvement des droits des homosexuels est né.


Enfin, les œuvres de l’artiste présentes dans la collection du Musée, comme Le Secret Happy End (2008), ainsi que quatre pièces prêtées par des collectionneurs de New York City, seront présentées au public.

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