Expositions

Le Théorème de Narcisse

Septembre 2021 - Janvier 2022, Petit Palais, Paris

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Jean-Michel Othoniel investit la totalité du Petit Palais et son jardin.
Il s’agit de la plus grande exposition personnelle de l’artiste à Paris depuis sa rétrospective "My Way" au Centre Pompidou en 2011.   

Pour l’occasion, en plus de 70 œuvres nouvelles, Othoniel invente Le Théorème de Narcisse : un homme-fleur, qui en se reflétant lui-même, reflète le monde autour de lui. Selon Gaston Bachelard, « le narcissisme n’est pas toujours névrosant, il joue aussi un rôle positif dans l’oeuvre esthétique. La sublimation n’est pas toujours la négation d’un désir. Elle peut être une sublimation pour un idéal. »       


L’artiste tisse une toile d’irréalité, d’enchantement, d’illusion, de libération de l’imagination. Rivières de briques bleues, Lotus et Colliers d’or, Couronne de la Nuit, Noeuds Sauvages et Precious Stonewalls miroitants, ces œuvres sont enchâssées dans le bâtiment, suspendues aux arbres ou posées sur l’eau ; elles dialoguent avec l’architecture du Petit Palais et les ors de son jardin. L’exposition est placée sous le signe du ré-enchantement et de la théorie des reflets que l’artiste développe depuis près de dix ans avec la complicité du mathématicien mexicain Aubin Arroyo. Cette invitation au rêve nous permet, le temps de l’exposition, de résister à la désillusion du monde. Cette exposition est un message d’ouverture offert gratuitement au public.

Wild Rosebuds

Juin - Août 2021, Perrotin New York

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CP

En ouverture cet été chez Perrotin New York, Jean-Michel Othoniel présentera une exposition de nouvelles sculptures et peintures, intitulée Wild Rosebuds. Après les débuts de ses spectaculaires Rose paintings, qui sont entrées dans la collection permanente du Louvre en 2020, l'artiste associera pour la première fois des œuvres de ses séries Rose et Kiku. Dans Wild Rosebuds, l'artiste poursuit son exploration de la nature à travers une approche contemplative et minimale, mettant en avant sa vision romantique du monde où les plaisirs simples, tels que les fleurs, sont chargés de sens cachés.


En entrant dans l'exposition, la première œuvre que vous rencontrerez est une sculpture abstraite en forme de nœud borroméen, qui semble être une chaîne infinie de perles réfléchissantes. Cette sculpture est inspirée d'un bouton de rose, symbole de la passion qui renaît sans cesse. Dans la salle principale, une série de 10 tableaux, réalisés à l'encre noire ou rouge sur feuille d'or, évoque l'énergie et la tension d'un seul bouton de rose en fleur.


Au centre de l'exposition, l'artiste a mis en scène 7 sculptures en miroir, en verre coloré, qui s'inspirent de la fleur de chrysanthème. Le chrysanthème, ou Kiku, est un symbole de joie, de plaisir et d'éternité. Ces sculptures font partie de la série des "nœuds infinis" de l'artiste, réalisée pour la première fois il y a près de dix ans en collaboration avec le mathématicien mexicain Aubin Arroyo. Chaque construction en verre est basée sur une théorie mathématique utilisée pour calculer les infinités de reflets contenus dans une sphère de miroirs : "la théorie du nœud sauvage".


Enfin, l'exposition culmine autour d'une peinture Kiku à grande échelle à l'encre noire sur feuille de golf blanche. La surface réfléchissante des peintures dialogue avec les branches miroirs du Kiku, réfractant infiniment la lumière dans tous les coins de la pièce.


Une rétrospective majeure de cet ensemble d'œuvres sera également présentée au musée du Petit Palais à Paris en septembre 2021.

Nœuds sauvages

Mars - Mai 2021, Arsenal art contemporain Montréal

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L’exposition « Nœuds sauvages » réunit, pour la première fois, la série des sculptures-nœuds de Jean-Michel Othoniel dont les perles de verre miroité dialoguent avec la théorie mathématique des nœuds sauvages. Cette exposition, née de la rencontre entre l’artiste français et le mathématicien mexicain Aubin Arroyo, est l’occasion d’explorer le croisement entre l’art contemporain et l’univers des mathématiques.
Précédemment présentée au Centro Cultural Kirchner à Buenos Aires, l’exposition met à l’honneur les œuvres en verre miroité de l’artiste, dont le plus grand nœd réalisé à ce jour dans ce matériau, Le Nœud Pansy, faisant partie de la collection permanente de l’Arsenal.
C’est en avril 2015 que cette histoire avec les mathématiques nait, lorsque Aubin Arroyo fait part à Jean-Michel Othoniel de ses recherches sur les nœuds sauvages et la théorie des reflets qu’il calcule et analyse depuis plus de 15 ans. L’étonnante ressemblance entre les images virtuelles nées de ces formules mathématiques et les images des sculptures de l’artiste les a menés à une rencontre tant intellectuelle que créatrice.
À Montréal, Othoniel prolonge cette exploration mathématique et présente une grande rétrospective de 25 sculptures-nœuds réalisées entre 2009 et 2019.
Habitant la création de Jean-Michel Othoniel depuis 2008, les nœuds borroméens dessinent, de leurs lignes serpentines, un mouvement suspendu dans l’espace. Faisant dialoguer la poésie de la géométrie et l’abstraction de la forme, ces entrelacs de perles de verre soufflé – le matériau de prédilection de l’artiste depuis 1993 - tracent une construction dynamique et tumultueuse, en un geste calligraphique qui rappelle le goût de l’artiste pour l’écriture et les signes. Circonvolutions, imbrications de courbes où l’on pourrait se lover, les nœuds, autoportés ou suspendus, constituent un véritable défi lancé à la pesanteur.

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